Le Syndiat Libre des Enseignats et Chercheurs de Guinée (SLECG) est accusé d’être à la base de l’échec enrégistré dans le système éducatif guinéen depuis la publication des résultats de l’examen d’entrée en 7ème année.
Des accusations rejeté en bloc par le mouvement syndical dirigé par Aboubacar Soumah.
Interrogé sur cette actualité ce vendredi 26 juillet 2019, le responsable en charge de communication du SLECG dit que sa structure n’est nullement responsable de cette situation.
« L’échec que les parents ont en train de signaler ne provient pas du SLECG plutot au contraire. Nous nous inscrivons en faux c’est pas le SLECG qui est responsable ce qui s’est passé parce que nous avons alerté par-rapport à certaines défaillance. » a réai Adrien M’bapi
Selon lui, quand le SLECG a suspendu le mot d’ordre de grève, il est passé par toutes les stratègies pour que le programme soit bouclé à temps.
« Je crois bien que tous les programmes ont été bouclé. C’est pour vous dire si certains parents estiment que c’est le SLECG qui est à la base ils n’ont qu’a aller sur le terrain les inspecteurs ont passé dans les ecoles ils ont vu que le travail abbatu par les enseignats était un travail salutaire le programme a été totalement achevé. Y’a pas un cours qui n’a pas été dispensé au niveau des salles d’éxamens. » ajoute t-il
Poursuivant, Adrien M’bapi indique que le SLECG envisage de travailler sur le terrain pour vérifier quels sont les responsables de cette situation.
« Donc une fois tous les résultats seront connus le SLECG va animer une conférence de presse pour dennoncer tous les maux qui freinent le système éducatif guinéen. »
Le mouvement syndical accuse à son tour le gouvernement guinéen d’être à la base de cet échec.
« Y’a une commission de réflexion qui est mis en place, qui a fait un rapport dans lequel la commission a signalé que l’État veut reduire le nombre d’admis à l’universite. Parce que le gouvernement ne veut pas orienter dans les Universités privés. Le gouvernement prefere passé par tous les moyens pour faire échouer des candidats qui sont au bac. » conclut-il
Bilguissou BALDE pour Journal Guinée
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