Malgré tous les efforts consentis dans la lutte contre le réchauffement climatique, force est de constater que les menaces ne font que s’intensifier sur le phénomène. Ainsi, selon une étude publiée cette semaine par l’université Canadienne Calgary et parue dans l’agence d’information Française « Ouest France », la fonte des glaces dans l’océan Arctique pourrait être plus rapide que prévue.
Et ce, à cause d’eau salée gelée à la surface, qui fausserait largement les mesures d’épaisseurs prises par les satellites qui sont estimées à 25% aux jours d’aujourd’hui. Toujours est-il que, la même étude parue dans la revue « Geophysical Research Letters », révèle que les estimations d’épaisseurs de cette banquise saisonnière prises par les observations satellitaires sont surévaluées pour l’instant à 25%.
Toute chose qui suppose que la disparition des glaces dans cet océan Arctique pourrait être plus rapide que les prévisions qui annonçaient leur disparition pendant les mois d’étés entre 2040 et 2050.
LES CONSÉQUENCES D’UN TEL PHÉNOMÈNE !
Comme l’on constate déjà, la disparition des glaces dans l’Arctique aura bien des répercussions négatives sur le climat mondial. À travers la monté des températures par endroit, qui affecteront forcement la vie de l’humanité sur terre.
En outre, cette situation augmentera également les tempêtes, qui affecteront aussi l’écosystème maritime. C’est ainsi, bon nombre d’observateurs et spécialistes des questions Environnementales soutiennent que les émissions de gaz à effet de serre et de gaz carbonique seraient à l’origine de cette fonte des glaces dans l’Arctique.
Une situation qui pourrait encore s’intensifier dans les années avenir, d’autant plus que les grands pollueurs de la planète n’affichent pas une volonté de réduire leurs émissions de gaz dans ce sens.
Mamadou Moussa Diallo pour Journal Guinée
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