Ministère du commerce: Quand le bilan de Marc Yombouno dérange et fait l’objet de dénigrement des journalistes mercenaires ( Opinion)
Au ministère du commerce, les responsables ont annoncé ce vendredi que 2016 a été très fructueux dans l’atteinte des objectifs. C’était à la faveur d’une rencontre qui s’est tenue dans un réceptif hôtelier de Conakry. Selon le patron dudit ministère 95% des travaux ont été exécuté. Ce qui constitue pour Marc Yombouno comme une prouesse qui découle du combat mené par tous les travailleurs. Il Soutient que plusieurs produits périmés ont été saisi grâce à la collaboration des services spéciaux de Moussa Thiégboro Camara : « Il y a eu beaucoup de résultats dans le domaine du contrôle de qualité de nos denrées, surtout alimentaires. Vous avez suivi les séances d’incinération grâce aux collaborations des services de Thiégboro où on a extirpé sur le marché plus de 3500 tonnes de farine alimentaire périmée, impropre à la consommation. Plus de 400 mille cartons de jus, de lait et d’autres liquides confondus. Plus de 29 tonnes de sucre, des stocks énormes de cigarette. Nous avons lancé aussi une campagne de sensibilisation sur les dangers du soudan 4 à l’intérieur du pays».
D’ailleurs cette rencontre a connue la présence de plusieurs hommes de médias de la presse publique et privée. En bon gestionnaire de la chose publique, Marc Yombouno n’a passé aucune question concernant son département sous silence. Il a surtout déploré le comportement de certains journalistes indélicats qui ont fait de ce métier noble un fourretout. Ce qui irrite, c’est quand des journalistes transforment des propos de ce ministre. C’est le cas de certains sites de la place. J’ai lu par exemple un article sur Guinée synthèse qui à tord cherche à noyer le poisson. Ce passage a bien attiré mon attention: << Ce vendredi, dans l’après-midi, c’est le ministre du Commerce Marc Yombouno qui appelle et tient des propos ethnocentrique, et accuse son homologue de la pêche, de l’aquaculture et de l’économie maritime d’avoir manipulé des journalistes contre sa personne. Le ministre Yombouno est jusqu’allé à menacer de porter plainte si toute fois un article contraire n’est pas publié par guineesynthese.com>> Quelle grossièreté? Pourtant Marc Yombouno a bien évoqué cette problématique de la commercialisation des poissons au cours de cette présentation de son bilan. Quelle mauvaise foi de la part de certains confrères qui au lieu d’user de leur responsabilité sociale, cherchent plutôt à raviver la flamme entre deux ministres. Selon Marc Yombouno, le président de la République a même tranché ce sujet. Désormais, Il incombe au ministère du commerce de veiller à la réglementation de la vente des poissons.
Plus grave, ce site dit ceux-ci: << Dans nos prochaines apparitions, vos aurez en audio et en intégralité les propos tenu par le ministre Marc Yombouno et d’autres révélations dans cette affaire de commercialisation du poisson par les chinois sans oublier le scandale du marché lié à la fourniture de fuel lourd ‘’Mazout’’, lancé par le gouvernement guinéen à travers l’Office National du Pétrole en mars 2016, dont la société AOT Trading est venue en tête du classement t. >>
Sans mesurer la gravité de ces affirmations et les conséquences que cela peut en découler, Ces journalistes se lancent dans une campagne de dénigrement contre ce ministre qui pourtant fait bien son travail. Je rappelle juste qu’un bon journaliste s’appuie sur des faits vérifiés avant de diffuser une information. Je concède qu’on peut bel et bien protéger sa source mais il est aussi bon de recouper les informations. Il faut en pareil situation aller tendre ton micro à la personne incriminée. Au lieu de se victimiser et d’entretenir des confusions, pourquoi vous n’avez pas posté l’élément sonore dans lequel Marc Yombouno vous profère des menaces et accuse son homologue de la pêche? Pourtant quand le directeur général de la police avait parlé de troisième mandat, le journaliste qui a traité cette information a brandit des preuves à travers un élément sonore. Comme le dirait l’autre, il n’ya pas de démocratie sans liberté de presse. Mais il n’ya pas aussi de liberté de presse sans responsabilité sociale du journaliste. Mes très chère confrères méfiez- vous des informations erronées si vous voulez qu’on continu toujours à respecter ce noble métier.
L’inconnu