En prélude à l’organisation des éléctions légylatives, la commission éléctorale nationale indépedanate (CENI) s’active dans les preparatifs.
Interrogé sur le travail de l’institution éléctorale le week-end dernier à l’Assemblée générale hebdomadaire Foutty-Laffidy, Etienne Soropogui a indiqué que la CENI ne doit rien faire sans associé les acteurs impliqués dans le processus.
Convaincu de la sensibilité du fichier éléctoral, cet ancien commissaire à la CENI lance un appel à l’organe en charge de l’organisation des éléctions en Guinée.
« Si vous êtes en train de construire l’architecture du fichier éléctoral, vous devez vous assurer que vous drainer dérrière vous l’ensemble des acteurs majeurs qui sont impliqués dans ce processus éléctoral. » explique t-il
Selon Etienne Soropogui, tout le monde est unanime aujourd’hui de passer à une révision parce que selon lui, des jeunes qui ont acquis la majorité doivent intégrer le fichier.
Concernant le débat autour du recrutement d’un opérateur national ou international, Etienne Soropogui, dit ceci à ses anciens collaborateurs, dont la mission et d’organiser des éléctions libres et transparentes acceptées par tous.
Pour lui, la CENI doit faire en sorte que l’opérateur d’accompagnement puisse être un international, qui pourrait être plus « crédible ».
Pourquoi ? « Parce que les operateurs internationaux, ont souscrit à un certain nombre de convention morale, ils ne peuvent pas venir dans notre pays, se permettre de faire n’importe quoi. » se justifie t-il
Amadou Diouldé Diallo pour Journal Guinée
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