Mardi est la date limite pour un accord de base visant à empêcher Téhéran de développer une bombe nucléaire.

Alors que les négociations approchaient de la fin de partie, secrétaire d’Etat américain John Kerry répugné à prédire la réussite.

Questions difficiles restent sur la table que les diplomates les plus puissants du monde se rencontrent en Suisse avec des négociateurs nucléaires iraniens, Kerry a déclaré à CNN lundi.

«Nous travaillons très dur pour faire travailler à travers. Nous travaillons tard dans la nuit et, évidemment, vers demain. Nous travaillons en vue de faire quelque chose, » at-il dit. « Il ya un peu plus de lumière là-bas aujourd’hui, mais il ya encore quelques questions délicates. Tout le monde connaît la signification de demain. »

Si les négociateurs parviennent à un accord de base mardi, un accord global, y compris les ajouts techniques, est censé être négocié à la fin de Juin.

Les puissances mondiales cherchent les contours d’ un accord qu’ils disent serait empêcher l’Iran d’obtenir une arme nucléaire pendant au moins 15 ans . En échange, l’Iran serait sortir de punir des sanctions qui ont paralysé son économie.

Les négociations cruciales se déroulent à Lausanne, Suisse.

Ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a sonné optimiste comme il a informé les journalistes plus tôt lundi, disant que les diplomates ont été «Préciser» leurs différences et de travailler sur les moyens de résoudre les points de friction.

« Ces négociations marathon comme ont atteint la phase finale, » at-il dit.

Trois points tendues

Les choses ont été tendues à Lausanne comme date limite pour un accord approche, avec des discussions accroché sur trois points importants:

• Comment rapidement ou lentement l’Iran sera autorisé à faire progresser sa technologie nucléaire dans les cinq dernières années de l’entente de 15 ans.

• Combien de temps de broyage sanctions de l’ONU vont disparaître.

• si les sanctions se enclenchent en place si l’Iran viole l’accord.

Accord sur les points est crucial, a déclaré un diplomate occidental.

« Il ne peut y avoir un accord si nous ne avons pas de réponses à ces questions», a déclaré le diplomate.

Réserve controverse

Confusion également éclaté sur un autre détail important de l’accord possible, avec les revendications Iran rétropédalage.

Le dimanche, un négociateur iranien a déclaré aux journalistes que Téhéran ne enverrait pas de matières fissiles à la Russie, qui avaient diplomates journalistes plus tôt dit qu’il était le cadre du plan de mettre des matériaux de fabrication de bombes potentiels hors de portée.

« L’exportation des stocks d’uranium enrichi ne est pas dans notre programme, et nous ne avons pas l’intention de les envoyer à l’étranger. … Il ne est pas question de l’envoi des stocks à l’étranger, » a déclaré le vice ministre des Affaires étrangères iranien Abbas Araghchi.

Mais lundi, les responsables américains ont déclaré que les rumeurs dans les médias à propos de la question des stocks étaient exagérées.

Les négociateurs ne avaient pas encore décidé des détails au sujet de l’élimination des matières fissiles, et l’Iran a fait les commentaires de nombreuses fois auparavant, un haut responsable du département d’Etat, citant une liste des exemples précédents de ces déclarations dans les rapports de presse.

« Cette notion que dans les derniers 24 heures que quelque part il ya eu un changement dans ce numéro, une sorte de durcissement des positions, est tout simplement pas vrai, » porte-parole du département d’Etat Marie Harf déclaré lors d’une conférence de nouvelles.

«Ce est une question qui reste que nous devons résoudre, mais n’a pas, très honnêtement, été l’un des plus coriaces», a déclaré Harf.

CNN